FAQ

Il est difficile de donner un délai précis, mais il faut savoir qu’à partir du moment où nous avons réuni toutes les pièces nécessaires, le délai moyen généralement constaté est d’une bonne semaine.

Oui, à condition de ne pas quitter le sol français et d’avoir une pièce d’identité sur vous. Il vous sert de permis de conduire provisoire pendant 4 mois, le temps que vous receviez la carte définitive.
Toutes les informations se trouvent au verso du document provisoire, prenez le temps de le lire.

Depuis quelques années, les candidats au permis de conduire peuvent consulter gratuitement leur résultat d’examen à l’épreuve pratique du permis de conduire sur le site de la sécurité routière et obtenir un certificat d’examen sécurisé en cas de succès. L’objectif est de simplifier les procédures actuelles. La mise en place de ce nouveau système évitera les pertes de documents avant la délivrance du titre définitif au format carte de crédit. La mise en place de ce nouvel outil s’inscrit dans la réforme du permis de conduire, qui vise à simplifier et moderniser l’examen pour permettre à la jeunesse d’accéder plus rapidement à l’autonomie et à l’emploi.

La demande du titre vous sera proposée par l’auto-école et sans aucun frais supplémentaire, dans la continuité de la confiance que vous nous aurez accordée pendant votre formation.

Il arrive parfois que le document officiel arrive tardivement. Si la demande a bien été prise en compte par l’administration (confirmation reçue), il faut attendre qu’elle soit examinée et si un (plusieurs) document(s) ne correspond(ent) pas ou manque(nt), une notification sera envoyée pour résoudre le problème au plus vite.
Si cependant vous ne l’avez pas reçu quatre mois après le passage de votre permis, cessez de conduire car cela n’est plus autorisé avec le permis provisoire, et sollicitez-nous le plus rapidement possible pour qu’on se renseigne sur une éventuelle perte de votre titre.

Attention cependant, SI LE TITRE N’EST PAS RETIRE DANS LES 15 JOURS APRÈS PRÉSENTATION PAR LA POSTE, IL REPART VERS L’ADMINISTRATION POUR DESTRUCTION.

Quand vous commencez à conduire avec votre permis en poche, vous avez 6 points pendant un an, puis vous en gagnez 2 chaque année, pour totaliser 12 points au bout de 3 ans. Vous n’êtes alors plus en période probatoire.
Si vous avez suivi votre formation en conduite accompagnée et seulement dans ce cas, vous gagnez 3 points par an et vous sortez donc de la période probatoire au bout 2 ans.

Oui, sous certaines conditions à voir lors d’un entretien car chaque cas de transfert peut être différent et aucune généralité ne peut être avancée.

Un devis personnalisé sera être établi avant de transférer le dossier.

Pour passer son permis de conduire en France, il suffit d’être résident en France, donc l’inscription est bien-sûr ouverte à tous, même aux étrangers non francophones.
Cependant, pour répondre aux questions du code et comprendre les explications du moniteur, il faut maîtriser suffisamment bien la langue.
Notez tout de même que pour un élève non francophone, la formation est un peu plus longue car il faut s’habituer au vocabulaire de la route.

Nous pourrons vous accompagner plus facilement si vous parlez et comprenez l’anglais et l’allemand, mais dans le cas contraire, nous essayerons de faire notre possible pour nous adpter mutuellement.

Il existe des examens théoriques réservés aux non francophones, avec possibilité de demander un interprète. Pour la pratique, on peut toujours plus facilement s’en sortir.

Votre dossier vous appartient. L’auto-école propose de s’occuper de l’enregistrement et garde votre dossier dans ses locaux pour vous éviter des démarches. Vous récupérez ce document dès que vous le souhaitez.
Si vous demandez à reprendre votre dossier avant la date d’expiration de votre contrat, le remboursement des sommes non consommées en prestations se fera selon les conditions du contrat.

Nous sommes 2 enseignants, Tiphaine et Thibault et 1 stagiaire, Lucas.

Les séances de code se déroulent avec un enseignant avec lequel vous allez décrypter les questions posées. Vous faites une série et la correction se fait avec l’enseignant.
Les réponses amènent très souvent des débats qui dépassent le cadre de la seule question.
Cela permet de mieux comprendre les situations, les règles et l’usage.
Un enseignant vous permet de comprendre et pas seulement d’apprendre.

Les questions officielles de la banque de données de l’Examen Théorique Général ont été vues par les mêmes éditeurs (Rousseau, ENPC, Ediser et Planète Permis) que ceux de nos supports.
Les élèves sont donc tout à fait familiarisés avec le type de questions qu’ils auront le jour de l’examen.

Oui, nous vous ouvrons un accès en ligne, lors de l’inscription, mais l’idéal est de venir le plus souvent possible en salle de code pour effectuer des sessions avec la présence d’un enseignant. L’accès en ligne est un bon complément de formation pour vous entraîner en +, partout ou vous pouvez avoir une connexion internet et pour parfaire votre niveau avec des questions conformes à celles de l’examen.
Nos enseignant sont là pour vous aider à surmonter des difficultés que vous pourriez rencontrer sur la plate-forme en ligne.

Nous sommes 2 enseignants, Tiphaine et Thibault et 1 stagiaire, Lucas.

Dans la mesure du possible, oui. L’enseignant désigné comme référent de l’élève va faire un maximum de la formation, au moins le temps d’acquérir les bases.
Il peut être parfois bénéfique, à partir d’un certain stade de la formation, de changer occasionnellement de formateur, pour découvrir une autre méthode pédagogique, si les conditions le permettent. Si la demande se fait par l’élève, cela peut être possible aussi, mais attention, votre moniteur n’est pas là pour se promener avec vous ou vous dire que tout ce que vous faites est bien. Vous ne pourrez progresser que si vous êtes capable d’accepter les critiques. Sinon, changer de moniteur ne réglera aucun problème.

En boîte manuelle, nous avons 2 Renault Clio V Diesel et en boîte automatique, nous avons 1 Ford Fiesta Essence.

Légalement, rien ne s’y oppose.
Cependant, dans notre établissement, nous préférons en général proposer une pédagogie en deux étapes et ne pas tout mélanger.
Il y a deux bonnes raisons à cela :
D’abord, il est difficile de progresser en conduite si l’on ne connaît pas bien les règles de priorité et les panneaux.
Ensuite, nous avons constaté que les élèves qui commencent la pratique délaissent la théorie, et risquent à terme de laisser passer les 6 mois que nous leur laissons pour passer le code.

Cela varie en fonction de chacun et surtout des connaissances que vous avez déjà. Même si le minimum réglementaire est de 20 heures, votre enseignant va déterminer au mieux, à l’issue d’une évaluation initiale, le nombre d’heures pratiques nécessaires pour vous donner toutes les chances de réussir au mieux le passage à l’examen et surtout de devenir un conducteur plus sûr, une fois le permis de conduire en main.
Comme dans tous les domaines d’apprentissage, il y a des personnes qui ont plus de facilités que d’autres.
Certains vont avoir besoin de 20 heures, d’autres du double.
Il faut savoir que d’après le rapport de Dominique Lebrun sur la formation à la conduite, rapport officiel qui a servi de support pour la réforme du permis en 2009, un élève aura en moyenne besoin d’ajouter 10 heures au minimum réglementaire, avant de passer l’examen.
Si vous choisissez le conduite accompagnée, les 20 heures peuvent suffire en formation initiale, la formation se poursuivant avec les accompagnateurs.

Il faut savoir avant tout qu’une auto-école est soumise à des délais administratifs incompressibles. Lorsqu’un élève s’inscrit pour la première fois en auto-école, il remplit une demande de permis de conduire qui doit être enregistrée en préfecture. Il ne peut passer son code qu’après l’enregistrement, mais au delà de ces délais imposés, la durée d’une formation est très variable d’un élève à l’autre.
Cela dépend de deux choses : la vitesse à laquelle il assimile les informations (aussi bien théoriques que pratiques) et sa disponibilité. Un élève qui vient plusieurs fois par semaine travailler le code progressera plus vite qu’un élève qui y passe une heure par semaine. De même pour la conduite, quelqu’un qui a beaucoup de temps libre pourra prendre plus d’heures de conduite dans une semaine qu’une personne qui n’est libre que le samedi par exemple.
Chacun doit aller à son rythme. L’important est de se présenter à chaque examen (théorique et pratique) en étant prêt pour avoir toutes les chances de réussir.

Un élève qui débute commence par avoir en moyenne 2 heures par semaine, puis progressivement autour de 3h., quand les disponibilités le permettent, jusqu’à ce qu’il approche le niveau requis à l’examen. Quand il a sa date d’examen, on essaie de lui proposer un rythme plus intensif.
Cette façon de procéder permet de bien gérer le planning de conduite (qui n’est pas extensible), et de proposer le même rythme pour tous les élèves.
Cela permet aussi d’éviter qu’un élève prêt pour l’examen attende plusieurs semaines avant de pouvoir passer.

Si vous n’avez jamais conduit auparavant, vous ne serez pas au milieu de la circulation, vous commencerez plutôt sur des routes extrêmement calmes voire un parking.

Réglementairement, la durée d’une leçon de conduite ne peut pas dépasser deux heures.
Il faut savoir que deux heures, pour un élève qui est en tout début de formation, c’est beaucoup. Il y a beaucoup d’informations à assimiler et se fatigue donc très vite.
En général, on propose des séances d’1h30 à 2h., lorsque l’élève a déjà assimilé les bases.
Ceci n’est pas une règle universelle, cela peut varier en fonction des disponibilités de chaque partie (élève et enseignant) et du niveau de l’élève.

Pour l’examen blanc, nous nous mettons en conditions d’examen et nous démarrons depuis le centre d’examen.
Durant le trajet jusqu’au centre d’examen, l’examen « s’échauffe » et l’enseignant lui donne déjà quelques conseil.
Arrivé sur le point de départ, l’enseignant prend l’attitude d’un examinateur : discours d’introduction, vouvoiement, aucune aide, observations sur la conduite, et bien-sûr, intervention si nécessaire, en gardant un regard objectif sur le niveau de prestation qui est fourni par le candidat.
L’élève effectue un parcours similaire à celui d’un examen: 30 % de conduite en milieu urbain et 70% sur route, situations diverses, 5 minutes de conduite autonome, une manœuvre en marche arrière et les vérifications de sécurité.
L’enseignant, à la fin du parcours, remplit un formulaire identique à celui du véritable examen, sur tablette ou sur papier, avec le décompte des points et la mention « favorable » ou « insuffisant ». Ce formulaire est remis à l’élève après l’épreuve. Il indique un nombre d’heures complémentaires nécessaires pour atteindre le niveau requis. Ce nombre d’heures est mentionné sur le formulaire de l’examen blanc.
L’examen blanc est un moment clé dans le parcours de formation. Il faut s’y préparer comme on prépare le véritable examen. Il ne doit pas être fait de façon trop précoce, juste « pour savoir où on en est ». Il faut le voir comme une évaluation très importante, à l’approche du grand jour.

Non, contrairement à l’épreuve théorique, l’épreuve pratique du permis de conduire est encadrée par des agents de l’état (Inspecteurs des Permis de Conduire et de la Sécurité Routière) et est donc gratuite.

Cependant, nous vous facturons des frais intitulés « accompagnement à l’examen pratique ».

Ces frais, ne pouvant excéder le prix d’une heure de conduite, comprennent : le prêt du véhicule à l’inspecteur avec tous les frais qui en découlent pendant qu’il circule, la présence d’un enseignant dans le véhicule et l’accompagnement du (des) candidat(s) vers le centre d’examen, ainsi que le retour, le traitement et analyse des résultats et tâches administratives y afférentes.

Nous sommes affectés au centre d’examen de Remiremont.

Occasionnellement et en fonction des besoins, nous pouvons postuler pour avoir des places d’examen sur Gérardmer ou Épinal, mais nous ne sommes pas prioritaires sur ces centres et beaucoup de conditions à voir en agence sont nécessaires.

Pour information, les centres d’examen dans les Vosges, sont : Épinal, Saint-Dié, Neufchâteau, Remiremont, Gérardmer, Vittel et Mirecourt.

Même si le délai légal vous permet de le repasser dans un délai largement raisonnable, il faut savoir pourquoi vous avez échoué. Un bilan de compétences sera établi, afin de comprendre la décision de l’expert pour en tirer profit, afin de vous présenter à nouveau, dans de meilleures conditions. La durée d’attente dépendra aussi du nombre de places attribuées par les services de l’État, du nombre de candidats à présenter, sachant que nous proposerons en priorités nos places aux candidats en première présentation. Au cas par cas, nous pourrons évaluer votre délai d’attente et vous proposer, pourquoi pas, la conduite supervisée.

Oui, mais seulement si vous êtes en conduite accompagnée depuis au moins 1 an et que vous avez effectué 3000 kilomètres minimum.

Non. Comme n’importe quel autre examen national, vous devez présenter votre carte d’identité originale. Une photocopie, ou l’attestation de perte ou vol délivrée par la police ne permettent pas de passer.
Il faudra donc nous prévenir le plus rapidement possible, pour qu’on puisse reporter la date et présenter un autre candidat plutôt que de perdre une place.
Par contre, si vous venez de demander le renouvellement de carte d’identité et que votre ancienne carte est périmée depuis moins de deux ans, elle sera recevable.
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F31057.

Vous serez déclaré par l’inspecteur « absent non excusé ».

Par ailleurs, votre absence fera perdre une place à l’auto-école. Celle-ci aura peut-être du mal à vous en trouver une nouvelle rapidement, surtout s’il s’agit de l’examen pratique.
Si vous êtes déclaré « absent non excusé » à l’examen pratique, votre passage est compté. Cela peut être lourd de conséquences (voir question suivante).
En cas de maladie, il est possible, dans les 48 heures, d’envoyer un certificat médical aux services des permis de conduire (par l’intermédiaire de l’auto-école) pour être excusé.
Dans ce cas, votre passage ne sera pas compté, mais malheureusement, l’auto-école perd une place malgré tout et par conséquent, ne pourra certainement pas vous proposer une nouvelle date dès le jour de votre rétablissement.

Pour la conduite, l’élève est soumis à deux limites :
– il doit passer l’examen pratique pendant que son code est encore valide. Il dispose ainsi de 5 ans,
– après 5 échecs au permis, il sera obligé de repasser l’examen théorique avant de se présenter à nouveau à l’examen pratique.

Il n’y a pas de remède miracle, mais le principal est tout de même le niveau atteint avant de se présenter. Si toute l’équipe pédagogique considère que vous avez toutes les chances de réussir, vous aurez plus confiance en vous que si on vous annonce un échec certain.
Contre le stress lui-même, on peut trouver de bons remèdes en pharmacie, qui sont légers (sans effets secondaires) mais souvent efficaces.
D’autre part, une préparation spécifique sur le stress est mise en place avec l’élève surtout en fin de formation à l’approche de l’examen, mais parfois cela peut se faire bien avant en fonction de chaque profil.

Non, avant de démarrer l’examen, l’inspecteur fera la vérification et vous pourrez revenir sur votre déclaration si nécessaire. N’oubliez pas qu’une fausse déclaration peut entraîner des lourdes sanctions dans votre vie de conducteur.

Chaque auto-école apporte son propre véhicule. Vous conduirez donc la voiture sur laquelle vous avez effectué votre formation.

Non, on le découvre le jour de l’épreuve. Sur le centre d’examen, tous les inspecteurs du département peuvent venir examiner les candidats.

De toutes façons, qu’importe, la finalité est la même et la prestation serait juger de la même manière par l’un ou par l’autre.

Non, il n’y a pas de parcours défini ni attitré par inspecteur. Le jour de l’examen, il y a de fortes probabilités que vous ayez déjà été entraîné(e) sur le parcours que vous aurez à suivre, mais si ce n’est pas le cas, nous ne pouvons pas nous en tenir responsables. On ne vous aura jamais fait conduire à Paris, Lyon, Marseille, etc. et pourtant il faut savoir s’adapter à différents environnement après avoir réussi l’examen pratique du permis de conduire.

Le centre d’examen sert de point de départ et dans un périmètre de 5 Kms. à la ronde, il y a la « zone des permis », c’est-à-dire les endroits où vous êtes susceptibles de passer lors de l’examen. Cela fait un certain nombre de rues et de routes.

Bien sûr, rassurez-vous, avec votre enseignant, vous irez faire une reconnaissance des lieux, mais vous n’apprendrez pas par cœur l’intégralité des parcours d’examen possibles, car il y en a des dizaines.

Non, idéalement, vous devez faire un parcours qui comprend une partie en agglomération et une partie hors agglomération (autoroute, voie rapide, route nationale, etc.), mais cela se passe parfois différemment, selon les conditions de circulation du moment.

Le fait que vous n’alliez pas sur autoroute pendant l’épreuve ne veut pas dire que l’inspecteur vous juge mauvais. Cela n’a rien à voir.

Non, rares sont les sujets de discussion qui donnent lieu à autant de rumeurs que le permis de conduire et ce depuis des décennies.
Méfiez-vous des pseudos expériences racontées par votre entourage à propos des inspecteurs et de leur attitude. Les avis sont très souvent trop subjectifs pour être considérés comme des vérités.
Votre meilleur interlocuteur pour en savoir plus sur le permis, c’est votre enseignant, qui assiste régulièrement aux épreuves.
Nous sommes là pour répondre à toutes vos interrogations.

Non, la manœuvre (pas seulement le créneau) est souvent la « bête noire » du candidat.

Le seul cas ou vous pouvez être ajourné dans une manœuvre, c’est si vous n’avez assuré la sécurité autour de vous. En entend par là qu’il faut faire la manœuvre lentement et avec un maximum de contrôles autour du véhicule. Une intervention sur les commandes de la part de l’inspecteur pendant la manœuvre risquerait en + de vous déstabiliser jusqu’au retour au centre d’examen.

Non, l’épreuve d’aujourd’hui n’est plus celle qui a été vécue par ceux qui l’ont passés avant les années 2010.

Si vous êtes en incapacité de terminer l’épreuve dans de bonnes conditions, l’inspecteur cochera une case « examen non mené à son terme », mais par expérience, c’est très rare.

Il faut garder à l’esprit que l’examen est avant tout un bilan de compétence et pour qu’il puisse vous servir à comprendre vos lacunes, il faut que l’inspecteur vous examine comme tout autre candidat, sur une prestation complète.

Non, l’inspecteur note le résultat sur sa tablette quand l’épreuve est terminée et les résultats sont remontés ensuite par voie électronique à l’administration qui dispose de 48h. pour vous transmettre le résultat, mais ça, il vous l’indiquera à la fin de votre prestation.

L’auto-école le recevra par e-mail la veille au soir de sa mise en ligne sur le site de la sécurité routière. Il faudra attendre 2 jours et si l’examen se déroule le Vendredi, il faudra attendre le Mardi (le week-end ne compte pas). Si la tablette ne fonctionne pas, la réponse vous sera alors envoyée par voie postale.

Qui peut le + peut le -. Si vous êtes formé sur une voiture à boîte manuelle, vous pouvez bien-entendu conduire sur une boîte automatique. Ceci dit, il est important de privilégier la boîte manuelle, notamment pour vos trajets en montagne et en ville où la mécanique est largement sollicitée. Pour les trajets de vacances sur autoroutes ou autres grands axes, vous pourrez utiliser plus volontiers la boîte automatique.

Aucun problème, il n’y a pas d’âge maximum, juste un âge minimum (15 ans). Cela peut même être une très bonne idée à partir d’un certain âge où on peut manquer de confiance en soi.

L’accompagnateur n’est ni un simple passager, ni un enseignant. Il doit aider l’élève à acquérir davantage d’expérience dans la conduite et veiller à garder les bonnes habitudes qu’il a acquises pendant son apprentissage au sein de l’auto-école.

Il n’est pas un simple passager car il doit veiller à ce que son « protégé » soit rigoureux dans sa conduite et respecte le code de la route. L’accompagnateur doit être plus exigeant avec l’élève qu’avec lui-même, s’il veut l’aider à réussir l’examen.
L’accompagnateur n’est pas non plus un enseignant. Il ne doit pas essayer d’apprendre de nouvelles techniques à l’élève et doit au maximum éviter d’entrer en contradiction avec ce qui a été enseigné en auto-école.
Il doit juste essayer d’aider l’élève à mieux apprécier et anticiper les situations de conduite.

Bien sûr. N’oubliez pas que vous apprenez à conduire un véhicule à quatre roues de moins de 3,5 tonnes, pas une miniature.
Il faudra juste commencer doucement, sur un parking, le temps de vous familiariser avec le démarrage, puis sur des routes larges le temps de bien vous habituer au gabarit.
Conduire une plus grosse voiture en conduite accompagnée peut même être bénéfique car lorsque vous reviendrez sur une petite citadine pour passer le permis, vous serez beaucoup plus à l’aise pour les manœuvres.

Il n’est pas obligatoire selon la loi, mais fortement recommandé. En effet, il est plus rassurant pour l’accompagnateur, qui ne dispose pas des doubles commandes, de savoir qu’il a au moins un moyen d’agir en cas de grand danger.
Si vous avez uniquement un frein de stationnement automatique, en cas de danger, vous devrez absolument vous habituer à obéir immédiatement si votre accompagnateur vous ordonne de freiner, donc être extrêmement réactif.

Ceci dit, par expérience, la présence du frein à main rassure, mais il est très peu utilisé.

Le nombre de kilomètres parcourus est une pure indication, mais il faut s’y tenir. Personne ne peut vérifier si vous les avez effectués ou non.
Cela correspond à peu près la distance qu’il faut avoir parcouru pour ressentir un réel progrès dans son niveau de conduite.

Pour un niveau optimal, l’essentiel n’est pas tant la quantité de kilomètres parcourus, mais surtout la qualité, par rapport à des trajets très variés que vous aurez pu parcourir.
Vous aurez certainement un meilleur niveau dans ce dernier cas, qu’un autre élève qui en aurait parcouru 3 fois +, mais sur des grands axes sans difficultés particulières.

Les lacunes que vous pourriez avoir en cas de manque d’expérience devront être compensées par des heures complémentaire en auto-école, ce qui risquerait de vous coûter plus cher. On vous conseillerait, dans ces cas-là et si c’est possible pour vous, de conduire encore un peu avec votre (vos) accompagnateur(s) pour atteindre le niveau requis.

Oui, c’est envisageable, il suffit de nous en parler. Cependant, vous perdrez tous les avantages de la conduite accompagnée (période probatoire de 2 ans, expérience de la conduite, avantages au niveau des assurances) et d’un point de vue économique, les tarifs étant différents entre les deux formations, un réajustement financier sera nécessaire.

L’idéal est de bien réfléchir sur le choix de la formule et si vous vous engagez sur la conduite accompagnée, investissez-vous au maximum pour que la formation initiale soit la plus rapide pour vous et la formation pratique en conduite accompagnée la plus longe possible.

Pour accompagner un apprenti conducteur en formation conduite accompagnée ou supervisée, il faut avoir au moins 5 ans de permis, sans aucune interruption dans les 5 dernières années et demander une extension de garantie nominative sur le contrat d’assurance.

L’accompagnement n’est pas exclusivement réservé aux parents.

Oui, tant que chaque accompagnateur rempli les conditions suivantes.

Oui, mais l’apprentissage nécessite déjà une prise de confiance en soi, alors est-ce bien d’avoir cet handicap de changer trop souvent de véhicule ? 2 ou 3 véhicules suffisent, en général.

Un RDV est un moment priviligié où on se retrouve pour faire un bilan sur une période.

Le 1er. aura lieu entre 4 et 6 mois après la Fin de la Formation Initiale signée par l’auto-école et le 2ème. environ 1 mois avant le passage de l’examen pratique du permis de conduire.

Pour le 1er., il faut avoir parcouru au moins 1000 Kms. sur des parcours variés et pour le 2ème., 3000 Kms. au total.

Lors du 1er., une évaluation de conduite sera réalisée pendant 1h., sur un parcours comportant une partie en agglomération, une partie hors agglomération, au moins une manœuvre. Un bilan détaillé vous sera remis. Il y aura une partie théorique de 2h. en salle. Ce sera une animation de sécurité routière en groupe.

Lors du 2ème., un examen blanc sera réalisé avec un bilan détaillé. Ce RDV dure également 1h. et un certificat d’examen blanc vous sera remis. La partie théorique de 2h. sera également effectuée en groupe et nous parlerons de l’examen : consignes, déroulement, résultat, etc. puis en animation de sécurité routière, nous travaillerons la partie théorique de l’examen de manière animée.

Bien-sûr et c’est même conseillé. Cela se fera sans aucune formalité supplémentaire auprès de la préfecture. Il y aura un avenant au contrat à signer et un RDV Préalable de 2h. à effectuer avec au moins un accompagnateur. Les conditions d’accompagnement sont les mêmes qu’en conduite accompagnée.

C’est une formule qui est accessible à partir de 18 ans.

Comme la conduite accompagnée, vous devrez gagner en expérience avec un (plusieurs) accompagnateur(s), dans le but de passer l’épreuve pratique du permis de conduire plus sereinement.

En revanche, elle ne donne pas les avantages de la conduite accompagnée, au niveau de la période probatoire notamment.

On peut partir en conduite supervisée dans 3 cas :

On le choisi dès l’inscription, souvent parce-qu’on connaît quelqu’un qui l’a fait et qui nous en a vanter les mérites. Dans ce cas, le nombre d’heures annoncé à l’issue de l’évaluation initiale sera ajusté en tenant compte du fait que vous aller acquérir une autre expérience et une assurance accrue.

L’enseignant peut le proposer ou l’élève peut solliciter l’enseignant en cours de formation, en cas de difficultés pendant la formation.

Après un échec à l’épreuve pratique du permis de conduire. C’est d’ailleurs ce cas qui est le plus fréquent. Cela permet de progresser à moindre coût avant de se présenter à nouveau devant l’inspecteur. D’autant + que parfois, les délais d’attente peuvent être longs.

Non, peut-être vous a-t-on parlé de 3 mois ? C’était le cas en 2010, quand cette formule a été mise en place.

Aujourd’hui, il n’y a plus d’histoire de délai ni de kilomètres.
Par contre, en choisissant la formation ou le pack « conduite supervisée », vous prenez l’engagement auprès de l’auto-école de revenir avec une meilleure expérience de la conduite, pour vous donner toutes les chances d’avoir votre sésame.

Non, après échec au permis, le départ en conduite supervisée permet de conserver ses acquis, mais pas de réduire le délai d’attente. Sauf accord mutuel, vous serez inscrit sur liste d’attente, au même titre qu’un autre élève qui a échoué. L’attente vous paraîtra ainsi moins longue et surtout moins pénalisante.

L’inspecteur sait que vous êtes devant lui pour récupérer votre permis et que vous n’avez pas le même profil qu’un autre candidat qui passe pour la première fois.

Quoi qu’il en soit, les raisons de l’annulation ou de l’invalidation de votre permis ne le regardent pas et n’auront aucune influence sur le résultat de votre (vos) examen(s).

Nous savons que les personnes qui viennent pour récupérer leur permis ont une vie qui est depuis longtemps organisée autour de la conduite d’un véhicule. Nous faisons donc notre maximum pour vous proposer de passer l’examen le plus tôt possible, à condition que de votre côté, vous vous exerciez suffisamment pour vous présenter en étant prêts.

Même si il n’y a pas de nombre d’heure minimum obligatoire, faites confiance au professionnel qui vous proposera un volume d’heure, suite à une leçon d’évaluation.

Oui, dès l’obtention de votre résultat favorable, vous pourrez solliciter votre nouveau titre sur le site. Thib’Auto-école vous proposera de vous accompagner dans vos démarches.
Attention cependant à la validité de votre visite médicale. Si elle n’est plus valable, vous devrez retourner voir un médecin avant de retrouver le droit de conduire.

Pour les permis annulés pour solde de points nuls (« annulations administratives »), si vous avez passé au moins les tests psychotechniques dans les 9 mois qui suivent la restitution du titre, vous n’avez pas de délai pour repasser son code, mais vous êtes en « interdiction d’obtenir » pour 6 mois. En cas de décision par un tribunal (annulation judiciaire), vous devez attendre la fin de la période « interdiction de solliciter » pour faire vos démarches. S’il vous avez moins d’un an d’interdiction, vous pouvez n’avoir que le code à repasser.
Au retour de votre dossier, après son enregistrement en préfecture, un document sera agrafé dessus, mentionnant si vous dispensé d’épreuve pratique ou non et jusqu’à quelle date limite vous êtes dispensé, si vous n’avez que le code à repasser.

Dans ce dernier cas, nous nous arrangerons bien-sûr pour vous présenter dans les délais.